À quoi ressemblerait la danse sans les écoles de danse récréatives

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À quoi ressemblerait la danse sans les écoles de danse récréatives

Dans une vidéo produite à l’occasion de la Journée internationale de la danse 2022, le Réseau d’enseignement de la danse (RED) pose cette question rhétorique qu’il s’est souvent posée dans les deux dernières années, au pire de la pandémie, alors que la survie du secteur était menacée. 

Dans cette vidéo d’une minute cinquante, des directeurs, élèves, enseignants et danseurs professionnels de divers milieux répondent et démontrent à quel point l’enseignement de la danse de loisir est à la base d’une importante industrie culturelle. 

« Sans la danse récréative, je n’aurais pas la carrière de danseur que j’ai aujourd’hui », affirme Alex Francoeur, danseur et chorégraphe professionnel.

« Les écoles de danse de loisir sont essentielles, je dirais même vitales », ajoute Anik Bissonnette, directrice pédagogique de l’École supérieure de ballet du Québec.

« On veut continuer de faire vivre la danse et d’inspirer les artistes de demain », conclut Médric Filion, chargé de programme à l’École de danse Saint-Bruno de Laval. 

Le RED souhaite souligner cette journée dédiée à la danse en rappelant l’apport important des écoles de danse et rappeler à tous que malgré les grands défis des deux dernières années, les écoles ont survécu et sont plus que jamais prêtes à accueillir la clientèle en studio. 

 

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