Souligne l’adaptation au changement, la capacité à rebondir, une nouvelle manière de faire.
Renaître de ses cendres
École de danse Maryse Blanchard
L’école de danse Maryse Blanchard à Granby a été la proie des flammes en septembre dernier, détruisant tout sur son passage : barres, miroirs, studios, 15 ans de souvenirs. Et ce, à quelques jours du début d’une session d’automne. Et, en moins d’un mois, l’école était relocalisée et fonctionnelle. La session a pu débuter. Comment se retrousser les manches, alors que tout pousse à laisser tomber. Et Maryse, plus que jamais, nourrit son moteur principal : sa passion pour la danse et son amour profond pour ses élèves qui sont nombreux à la suivre depuis le début. Et qui y sont encore. Prêts à lever les bras autant pour l’aider que pour l’applaudir. Une histoire d’amour ça, ça ne brûle jamais.
(Hélène Boulet)
En septembre dernier, l’école de danse Maryse Blanchard de Granby a été la proie des flammes. Un incendie ravageur qui a tout détruit presque la veille du début de la session d’automne. Ma famille et moi avons aidé Maryse à sortir ses nombreux bacs de costumes, un à un, dans la poussière et la suie. Mais plus de barres, de miroirs, rien… 15 ans de souvenirs écroulés. Mais en moins d’un mois, après d’intenses recherches, Maryse a trouvé un nouveau nid pour son école. Les cours ont pu reprendre. Se retrousser les manches dans le temps de le dire comme on dit! Maryse est une passionnée par ses élèves, par son art, qui ne laisse pas de telles embûches barrer son chemin. En plus, dans le contexte de la COVID, toute la session du printemps passé s’est déroulée dehors, dans un parc. Beau temps, mauvais temps. Et le spectacle de fin d’année, dehors, dans ce même parc, filmé par des professionnels en plus. Je suis certaine que les élèves en garde un beau souvenir! Arriver à continuer d’avancer, avec un minimum de ressources et de moyens, je ne sais pas pour vous, mais… Allô la résilience! Beaucoup d’élèves et de proches sont derrière Maryse et l’aident magnifiquement à se propulser et à dépasser les limites. Je pense qu’elle mérite bien plus qu’une main d’applaudissements.
(Marie Boulet-Côté)
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