Le projet Le PHARE, récipiendaire du prix Bienveillance de Compétence Culture

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Le projet Le PHARE, récipiendaire du prix Bienveillance de Compétence Culture

Compétence Culture, le comité sectoriel de main-d’œuvre en culture et partenaire de longue date du RED, a procédé ce mercredi 15 septembre à une remise de prix « Je célèbre donc je suis », animée par Catherine Perrin. Ce gala visait à récompenser les initiatives culturelles de ses organisations membres et à offrir une visibilité aux nombreux projets réalisés dans une année particulièrement éprouvante de pandémie. Finaliste dans la catégorie Bienveillance, le projet du Réseau d’enseignement de la danse (RED) intitulé « Le PHARE » a remporté le vote et s’est vu remettre une bourse de 2000 $.

« On sait tous à quel point la dernière année a été difficile pour notre secteur. Le PHARE, c’est un projet qui a soutenu la santé mentale de nos gestionnaires d’écoles de danse dans une année d’innombrables défis et enjeux. Nous sommes très heureux que le milieu culturel ait reconnu nos efforts et voté pour un projet novateur comme Le PHARE, qui se destinait à 100 % à la santé mentale des travailleurs culturels », explique Véronique Clément, directrice générale du RED.

Le PHARE est un projet de formations, de coachings et d’accompagnements sur le thème de la santé mentale (stress, résilience, gestion du changement, etc.) qui a, d’abord et avant tout, été créé grâce à l’appui de généreux donateurs, puis qui a été soutenu financièrement par le ministère de la Culture et des Communications, une première pour le secteur selon la ministre, madame Nathalie Roy.

« Je tiens à remercier Compétence Culture pour cette belle initiative, et bien sûr, nos partenaires financiers, le ministère de la Culture et des Communications et Services Québec. Je veux aussi tout spécialement remercier Sam Chouinard et Marc-André Pitre, avec qui nous avons lancé les premières assises du PHARE. Tout le mérite du succès de ce projet revient à mon équipe qui a fait des miracles pour que Le PHARE puisse voir le jour dans un contexte particulièrement difficile. Et finalement, j’ai beaucoup de gratitude envers nos membres qui ont eu le courage d’admettre leurs besoins, d’aller chercher de l’aide et de prendre soin d’eux. », conclut madame Clément.

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